mardi 6 octobre 2009

Congo : un réseau des journalistes décidé à s’engager dans la lutte contre le paludisme

Une première réunion visant la constitution d’un réseau des journalistes pour le plaidoyer et la lutte contre le paludisme s’est tenue le Jeudi 24 Septembre 2009 à Pointe Noire au Congo.

Cette initiative est le fruit d’un constat : celui de la faiblesse de l’implication des journalistes dans la lutte contre le paludisme, maladie qui constitue l’une des premières causes de mortalité au Congo. Constat que la lutte contre le paludisme implique la participation de tous, mais aussi des journalistes en vue de changer les mentalités des populations et aussi de susciter l’intervention accrue des pouvoirs publics pour la prise des actions visant à éradiquer le paludisme dans le pays.

C’est dans cette optique que dans le cadre du projet de plaidoyer contre le paludisme, exécuté par AZUR Développement grâce au soutien financier de Malaria Consortium, appuie cette initiative de réseautage des professionnels des média dans le département du Kouilou.

Sous la direction de Monsieur David Hermann Malanda, Journaliste à DVS+, onze (11) professionnels des média femmes et hommes intéressés à plaider contre le paludisme se sont réunis le 24 Septembre 2009 à Pointe-Noire. Après la présentation aux participants de l’objet de la réunion, en prenant l'exemple sur le R E M A S T P (réseau de médias africain pour la lutte contre le sida la tuberculose et le paludisme les participants ont donné chacun leur point de vue. Après de fructueux échanges sur la dénomination du réseau, ils sont parvenus à la dénomination suivante : R C C P S (Réseau des Communicateurs Congolais pour la Promotion de la santé).

Ce réseau a pour objectif de faire le plaidoyer auprès des décideurs politiques et autres acteurs ou parties prenantes ; fournir des conseils et appuyer toute les autres organisations opérant dans le secteur de la santé afin de les aider à utiliser efficacement les médias pour promouvoir leur action ; et de contribuer à la maîtrise et la prévention de prévalence du paludisme, VIH/SIDA, la tuberculose et autre maladies inscrites comme problème de santé publique au congo.

Ces objectifs pourront être atteints par le biais de la production et la diffusion d'information et des émissions à travers la radio, la télévision et la presse écrite à Pointe-Noire. Ainsi, il sera produit et diffusé des programmes d’informations d’éducation orientés vers la réduction de taux de morbidité et de mortalité au Congo.

De même ce réseau de communicateurs congolais sur la santé organisera régulièrement les débats sur les médias d'information qui mettent l'accent sur la santé publique et en particulier le paludisme. Pour un des participants, ce « réseau sera pour nous un moyen de formation et d’information, et nous osons espérer que nous travaillerons au-delà de nos attentes parce que la lutte contre le paludisme et autres maladies nous concerne tous ».

Il est important de souligner qu’il est attendu des journalistes qu’ils interviewent également les parlementaires sur les questions de lutte contre le paludisme. Un guide de reportage sur le paludisme est en cours d’édition et un atelier de formation des journalistes est prévu d’ici Janvier 2010.

Roméo Mbengou

Congo : un réseau des journalistes décidé à s’engager dans la lutte contre le paludisme

Une première réunion visant la constitution d’un réseau des journalistes pour le plaidoyer et la lutte contre le paludisme s’est tenue le Jeudi 24 Septembre 2009 à Pointe Noire au Congo.

Cette initiative est le fruit d’un constat : celui de la faiblesse de l’implication des journalistes dans la lutte contre le paludisme, maladie qui constitue l’une des premières causes de mortalité au Congo. Constat que la lutte contre le paludisme implique la participation de tous, mais aussi des journalistes en vue de changer les mentalités des populations et aussi de susciter l’intervention accrue des pouvoirs publics pour la prise des actions visant à éradiquer le paludisme dans le pays.

C’est dans cette optique que dans le cadre du projet de plaidoyer contre le paludisme, exécuté par AZUR Développement grâce au soutien financier de Malaria Consortium, appuie cette initiative de réseautage des professionnels des média dans le département du Kouilou.

Sous la direction de Monsieur David Hermann Malanda, Journaliste à DVS+, onze (11) professionnels des média femmes et hommes intéressés à plaider contre le paludisme se sont réunis le 24 Septembre 2009 à Pointe-Noire. Après la présentation aux participants de l’objet de la réunion, en prenant l'exemple sur le R E M A S T P (réseau de médias africain pour la lutte contre le sida la tuberculose et le paludisme les participants ont donné chacun leur point de vue. Après de fructueux échanges sur la dénomination du réseau, ils sont parvenus à la dénomination suivante : R C C P S (Réseau des Communicateurs Congolais pour la Promotion de la santé).

Ce réseau a pour objectif de faire le plaidoyer auprès des décideurs politiques et autres acteurs ou parties prenantes ; fournir des conseils et appuyer toute les autres organisations opérant dans le secteur de la santé afin de les aider à utiliser efficacement les médias pour promouvoir leur action ; et de contribuer à la maîtrise et la prévention de prévalence du paludisme, VIH/SIDA, la tuberculose et autre maladies inscrites comme problème de santé publique au congo.

Ces objectifs pourront être atteints par le biais de la production et la diffusion d'information et des émissions à travers la radio, la télévision et la presse écrite à Pointe-Noire. Ainsi, il sera produit et diffusé des programmes d’informations d’éducation orientés vers la réduction de taux de morbidité et de mortalité au Congo.

De même ce réseau de communicateurs congolais sur la santé organisera régulièrement les débats sur les médias d'information qui mettent l'accent sur la santé publique et en particulier le paludisme. Pour un des participants, ce « réseau sera pour nous un moyen de formation et d’information, et nous osons espérer que nous travaillerons au-delà de nos attentes parce que la lutte contre le paludisme et autres maladies nous concerne tous ».

Il est important de souligner qu’il est attendu des journalistes qu’ils interviewent également les parlementaires sur les questions de lutte contre le paludisme. Un guide de reportage sur le paludisme est en cours d’édition et un atelier de formation des journalistes est prévu d’ici Janvier 2010.

Roméo Mbengou

mardi 15 septembre 2009

Congo : des jeunes parlent de sexualité et du VIH/SIDA à bâtons rompus


Les jeunes du quartier de Mbota à Pointe-Noire ont eu l'occasion de recevoir l'équipe du Club des Jeunes pour L'Education Sexuelle et à la Santé "CJESS" pour le lancement des séries des causeries-débats en prélude au Forum National des jeunes pour la Sexualité, le SIda, la Santé de la reproduction et les IST "FONAJS" que le CJESS pense organisé en mois de décembre 2009.

Ceci a été une bonne occasion pour ces jeunes d'être informés sur les questions les plus sensibles de la sexualité, le sida et la santé de la reproduction. Ces jeunes ont véritablement loué cette initiative en disant: aujourd'hui, c'est le médecin vers le malade; qui nous permet de pouvoir naître de nouveau à travers ces enseignements reçus ce jour. Des causeries débats qui ont été animé par une équipe dynamique de trois personnes, membres du CJESS sous la direction de son président Davy Herman MALANDA.

Cette occasion a permis à l'équipe du CJESS de faire passer le message éducatif cadrant avec son objet et avec l'actualité du moment, et d'identifier les principaux problèmes des jeunes autour de cette thématique (Sexualité, Sida, santé de la reproduction et IST) en milieu jeune.

On peut à cet effet dire que, beaucoup reste à faire quant à la lutte contre les maux de cette thématique. L'information continue et la responsabilisation des jeunes eux même, constituent de nos jours une véritable arme pour croire effectivement à la lutte contre les maux relatifs à cette thématique.
Nous louons la franche collaboration associative qui peut faire de telle sorte que, les acteurs de lutte contre ces maux choisissent des axes d'interventions selon leurs capacités et compétences afin de pouvoir les associer pour arriver à une dynamique riposte contre le sida par exemple.

Rappelons que ces causeries débats vont se poursuivre dans les différents quartiers de Pointe-Noire afin de recueillir des données sur le problème de la jeunesse face à cette thématique; question de pouvoir identifier des principales actions à mener face à cela lors du forum, que nous jugeons comme l'un des cadres les plus appropriés pour éventuellement débattre avec succès les problèmes de la jeunesse face à cette thématique.

Davy Herman MALANDA
Président du CJESS
http://cjesscongo.wordpress.com

vendredi 8 mai 2009

Remise de la charte de la société civile à la Marraine Nationale de la lutte contre le paludisme


Remise de la charte des organisation de la société civile à Madame ZONGO Epouse du Premier Ministre du Burkina Faso Marraine Nationale de la lutte contre le paludisme

Burkina Faso : cross populaire pour la lutte contre le paludisme


Vaincre le paludisme : le compte à rebours est lancé, tel est le thèmede la célébration cette année de la journée nationale de lutte contrele paludisme.

Au Burkina Faso le monde communautaire a commémoré la manifestationsous l’égide de SOS Jeunesse et Défis, à travers l’adoption d’unecharte du monde communautaire en faveur de la lutte contre lepaludisme, l’organisation d’une conférence presse et d’un cross pourla mobilisation communautaire. Le clou de cette manifestation a été la remise de la charte du mondecommunautaire pour la lutte contre le paludisme aux autoritéspolitiques présentes au district de Nongr Massom.

La charte a étéadoptée par une quarantaine de participants à l’atelier de mise enplace de la coalition de lutte contre le paludisme au Burkina Faso. Lacharte est une interpellation des autorités politiques à un fortengagement sur le paludisme et vise à renforcer les actions deprévention et de prise en charge du paludisme.

Plus de 400 personnes ont pris part au cross populaire qui a parcouru plus de 4kilomètres avec des slogans de plaidoyer et d’engagement sur la lutte contre le paludisme, tous déterminésà vaincre ce mal au Burkina Faso.

Célestin Compaoré, SOS Jeunesse et Défis, Burkina Faso

Burkina Faso, une coalition de lutte contre le paludisme tant attendue


Des organisations à base communautaires issues de huit régions sur treize du Burkina Faso donnent naissance à la Coalition Burkinabé deLutte contre le paludisme. C’est la principale conclusion de l’atelier de concertation pour la mise en place d’un mécanisme de synergie d’actions en faveur de la lutte contre le paludisme au Burkina Faso. Cette importante rencontre s’est tenue du 23 au 24 Avril 2009 àOuagadougou la capitale.


L’initiative est du Consortium SOS/JD-CCP et a rassemblé deux jours durant des participants venus de tous les quatre coins du Burkina. Au cours de leurs travaux les participantsont eut droit à des échanges avec des responsables du Programme National de Lutte Contre le Paludisme au Burkina, du Programme d’Appui au Monde Communautaire. Ces échanges ont été fructueux pour la synergie d’actions en faveur de latte contre le paludisme.


Le lancement de la coalition, sous la houlette de Célestin COMPAORE qui en assure la coordination, est une contribution au renforcementdes différentes initiatives sur la lutte contre le paludisme à travers le plaidoyer au niveau communautaire. Elle vise l’interpellation des décideurs politiques, coutumiers, des médias pour une meilleure mobilisation en faveur de la lutte contre le paludisme.


Célestin Compaoré, SOS Jeunesse et Défis, Burkina Faso

lundi 27 avril 2009

L'espoir est permis dans la réduction des nouveaux cas de paludisme au Burkina Faso

Le Burkina Faso à l’instar de la plupart des pays en Afrique de l’ouest est confronté à l’épidémie du paludisme. Au Burkina le paludisme constitue la première cause de consultation et d’hospitalisation et de décès dans les formations sanitaires. Le paludisme est devenu un problème de santé publique de part son ampleur et sa gravité?

La situation du paludisme au Burkina Faso

Au Burkina Faso, le profil épidémiologique reste dominé par les maladies transmissibles infectieuses dont le paludisme. Selon les données statistiques du système national d’information sanitaire, le paludisme est la première cause de consultation (35,12%), d’hospitalisation (40,83%) et de décès (37,5%) et 1 877 622 cas de paludisme dont 261 927 graves ont été enregistrés en 2005 sur une population estimée à plus de 10 000 000 d’habitants dans la même année. Le nombre élevé de décès du au paludisme s’explique entre autre par la faible fréquentation des formations sanitaires, la faible couverture en moustiquaires imprégnés traitées aux insecticides traitées (MTI), l’insuffisance des activités de communication de proximité en matière de lutte contre le paludisme.

Sur le plan de l’administration des soins par les services de santé l’état de la situation du personnel soignant selon les ratios des personnels dans le cadre du PNDS 2001-2010 se compose comme suit :
-1 médecin pour30086 habitants
-1churgien dentiste pour 358 711 habitants
-1pharmacien pour 369 9241 habitants
-1 infirmier pour 3711 habitants
-1 sage femme pour 24 869 habitants.

Cette situation reflète l’insuffisance du personnel de la santé par rapport au besoin de soins par rapport à une population générale estimée à plus de 12 000 000 d’habitants en 2006(sourceRGPH2006).Bien que le personnel soit qualifié il demeure insuffisant.

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